Description
Parution : novembre 2020
ISBN : 978-2-917575-93-2
EAN : 9782917575932
Pages : 304
« Moi, Eva Braun… »
22,00€
Résumé
Elle s’appelait Eva Braun. La veille de son suicide, le 30 avril 1945, elle épousa l’homme pour lequel elle avait tout sacrifié et devint alors, pour quelques heures, Eva Hitler. Ce récit, écrit à la première personne, dévoile cette incroyable destinée, inextricablement liée à celle d’Adolf Hitler, le « Sauveur » de l’Allemagne, l’un des personnages les plus sinistres de l’Histoire de l’humanité. Au fil des mots, Eva se livre en toute spontanéité. Témoin privilégiée de ces folles années de l’entre-deux guerres, la « maîtresse maudite » du IIIe Reich nous entraîne de son enfance aux derniers jours de la Seconde Guerre mondiale, sans renier cet amour que l’on suit comme un fil rouge. « Cette histoire est la nôtre, Adolf. »
Informations complémentaires
| Poids | 361 g |
|---|---|
| Dimensions | 14 × 20 × 2,17 cm |
Biographie de l’auteur
Passionnée d’histoire, Chloé Dubreuil anime depuis plus de vingt ans des ateliers d’écriture, dispense des cours d’expression écrite en universités et préside le concours de nouvelles de l’Université Claude Bernard (Lyon 1). Elle est l’auteur de plusieurs romans contemporains et historiques, de recueils de nouvelles et d’une monographie.
François Delpla (préface), docteur en histoire et habilité à diriger des recherches, est pour l’instant le seul biographe français d’Hitler (Grasset, 1999), dont il a étudié la vie sentimentale dans Les Tentatrices du diable (L’Archipel, 2005), réédité et complété sous le titre Hitler et les femmes (Nouveau Monde éditions, 2016). Son dernier ouvrage est une biographie de Martin Bormann, la première écrite par un historien (Nouveau Monde éditions, 2020).
État
Neuf
D. –
Magistral travail de romancière ! Chloé Dubreuil semble avoir puisé aux meilleures sources. C’est donc une sidérante plongée dans l’entourage d’Hitler que nous faisons en compagnie de sa maîtresse/femme. Un autre regard sur le nazisme, autre mais non point plus conciliant ! La sidération reste la même en plus fort sans doute…